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la vie n'est pas un chemin si facile
les océan souvent viennent la traversé
Les montagnes l'entraver
Et les maux la faire s'effondrer
La vie est un moment que je ne connais
Que depuis peu
j'ai tout donner pour croire y croire
Je ne sais plus si c'est réelle
peut être une légende qui se raconte
Que les coups reçus ne sont que de actes d'amour
Que les larmes ne sont que tu chagrin qui s'évade de nous
La vie est un immense fossé
Un peu comme une corrida
un peu comme un jeu avec lequel on joue
sans même savoir si la vie est pour nous
Questions sans jamais de réponses
Moment de doute de cris
2touffé devant l'océan
à lui crier mes peurs à lui crier
Ces injustices qui resteront gravées
On n'oublie pas la vie
On pardonne souvent
mais jamais ont ne peux oublier
Que des coups nous avons pris
Que des larmes nous avons versée
la vie je voudrais la contempler apprendre à l'aimer
Apprendre à croire en moi à croire que j'ai le doit de vivre
même si je suis un accident de la vie
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Besoin de m'envoler
Besoin de liberté
Libérer tous ces mots
Larguer moi les amarres
Direction liberté
Ce soir je prendrais mon envol
Pour un endroit magique
Pour regarder les mers
Et écouter les océans
Ce soir je prépare mon départ
Direction liberté
Vers un autre paradis
Vers des autre univers
Pour oubliés
Je prendrais avec moi
Mes vieux rêves d'enfant
mes envies de m'enfuir
de partir en courant
De me noyer aussi
Ce soir je m'envole direction les grands airs
Pour un autre paradis
Avec la joie au coeur d'avoir connu du mondes
Avec le regrets d'avoir blesser certains
Ce soir je veux m'envoler pour atterrir
Dans un monde nouveau
Ou les fleurs ne seront plus pareilles
N'ayant pas de peine
je veux m'envoler
Un fil à aux pieds me tenait encore
Mais ce soir je largue les amarres
pour retrouvé ma liberté
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Tous sont là la mine triste
L'esprit concentré sur les paroles de l'abbé
Comme par peur d'une punition
Venu du très haut Dieu
S'ils n'écoutaient pas ces mots
Tous feront les gros yeux
A l'écoute d'un enfant turbulent
Qui n'a que faire de ces sermons
Ils resterons la mine déconfites
Prêt à tous pour faire croire qu'au Dieu
Ils y croient tous !
Mais personne ne se poussera pour laisser
Une place à ce monsieur rentré
Ils le regarderons de haut comme un intrus
Venu les déranger
Tous se donneront la paix
La paix du christ il vous diront
Mais n'en penserons mot
ils le feront pour faire plaiisr au grand Dieu
Qu'il sont bon et si bon
Qu'il regarderont cet homme malade
Qui demande à partager le vin de messe
Et tous disent en se cachant les yeux
Qu'elle horreur !
Et pourtant je vous promet ces gens ne rate aucune messe
Ils n'aime que Dieu par peur de mourir
De ce retrouvé en enfer
Mais de mot et puis de compassions
Ils n'ont pas ils n'auront jamais parce
qu'ils n'aiment qu'eux
Le sermon parle d'aimer les autres
Ils restent sans brocher
A écouter sagement
Mais entendent 'ils les mots
je pense qu'il pensent à leurs petite personne
le reste ne compte peu
Tous ses gens assis sur ces banc d'église
Se disent bon se rassurent de ne rater aucunes messes
Mais ils n'empêchent pas que les messes basses ils aiment bien ça
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Il y des jours ou nos yeux pleurent
Et puis d'autre ou nos rires résonnent
Des moments de doutes
D'incertitudes de peurs
Et de détresse des fois
Alors on choisit chacun sa façon de le dire
De l'écrire de le taire
De le noyer dans un chagrin profond
C'est la vie qui veux ça
Il y des gens qui naissent noirs
Et d'autre sont métis
Ou albinos mais leurs coeurs
Est le même et leurs envies de dires
Se crient
C'est la vie qui veux ça
Il y a des gens qui s'enferment dans leurs tour
Qui n'en font que le tour
Mais jamais se retourne
Pour voir la sortie
C'est la vie qui veux ça
Il y a des méchants des gentils
Des cons des salauds
Mais dans la vie
faut essayer comprendre le pourquoi un jour
Ils sont devenue comme ça
c'est la vie qui veux ça
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Le vent siffle dans les vagues
Les soulèvent lourdement
Et les éclatent avec force
Des milliers de perles d'eau explosent
Le vent souffle en rafale
les vagues se soulèvent s'entrechoquent
Se bousculent bruyamment
Les remous se forment sur la ligne d'horizon
Comme une ligne se remuant
Tel un drap que l'on laisse flotter au vent
Comme un voile qui s'envole
Et des bateaux qui filent
Le vent se joue de l'océan
ne le laissant de repos
Le secouant sans cesse
La marée partira et le vent s'en ira
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