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Ce soir je lève le grand mât
Et la grand voile de toute sa hauteur
Je ressens déjà le bonheur
D'être bercée par ses vagues
Ce soir je prends mon grand bateau trois mâts
Et je prends la mer direction liberté
je regarderai les mouettes venir me crier
La météo du large
Je regarderai les étoiles venues me saluer
Et la lune me guider
Ce soir c'est décidé je prends la mer
Sans bouteille à la main
Mais avec des secrets enfouis dans des coffres de bois
Je sens la voile se gonfler
Et m'entrainer déjà vers d'autre rivages
Ou d'autre continents
Je prends la mer avec mon cahier de grammaire
Et mes lectures de rois
Je repars dans mes rêves je me noie dans son bleu
Je prends la mer pour ne plus boire la tasse
Pour me battre contre cet élément de choix
L'océan
Je sais que la mer me prendra avec mes lacunes et mes défauts aussi
Avec mes incompréhensions et mon dictionnaire sous le bras
je prends la mer sans larme et sans chagrin
Mon aventure à été celle d'une sirène
Qui aimait les terriens
Mais qui au fond aimait mieux les marins
Je prends la mer mon bateau file grand noeuds
je prends les embruns comme signe de Dieu
Comme signe de vie
Je lève mon drapeau blanc
Ce soir je prends la mer pour un monde nouveau
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je vois les arbres faire la révérence
Et les herbes s’agitent
Comme des cheveux au vent
Je vois l’oiseau ébouriffé
Qui s'agrippe à la branche
Et la feuille s'envoler
Comme une main qui lâche
J'entends le vent
Murmurer sa colère
Secouer l'océan
Jouer de ces vagues immenses
Et éclabousser les mouettes rieuses
je vois le vent
et j'entends le temps
Je vois la vie qui passe
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Le vent souffle dans les vagues
Qui lourdement se soulèvent
Pour éclaté en perles d'eau
lesz voiliers filent sur la surface de l'eau
Le vent s'en amuse les fait tourner
les fait virer de bord
Les mouettes de font bercées par les remous
Qui les bercent les éclaboussent aussi
Mais les laissent sur la surface de l'eau
le vent se mélange aux vagues et se joue de lui
Le fait se mettre en colère en grondant longuement
L'océan est tranquille lorsque le vent doucemnt s'éloigne
au matin
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Oubliera tu un jour que les années sont du passées
Que les rires des enfants étaient bien des moments de joies
Et les nuages blancs courant dans le ciel bleu
Oubliera tu un jour que les fleurs sont fanées
Que les saisons sont passées
Et que les hirondelles repartiront
Un jour à tire d'aile
Oubliera tu que le sable est chaud
Que l'océan est un univers de colère
Une immense étendue
Ou je noie mes chagrins
oubliera tu un jour Cette main qui se lève
Ces mots qui se crient et qui tuent
Ces idées fausses que l'ont se force à croire
Pour ne pas oublier
oubliera tu un jour que la nuit est longue
Que les âmes sensibles versent des larmes
Lorsque la vie n'est pas un long fleuve tranquille
Oubliera tu un jour que le noir est derrière
Que les méchants peuvent devenir gentils
Que la haine se sert qu'a faire des guerre
Et que oublier un instant
C'est vivre et revivre autrement
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Mille ans en arrière les hommes vivaient dehors
Dans le froid sous la pluie
Mille ans en arrière les enfants naissaient dans les champs
Dans le foin et mouraient bien souvent avant l'age d'un an
Mille en arrière il y avait déjà des guerres
Comme la guerre du feu
Mille ans en arrière comme les temps ou l'ont brulait les sorcières
On condamnait les hommes en les pendant parce qu'il volait du pain
les femmes n'avaient pas la paroles
et le choix d'accomplir ce devoir conjugal
A faire des enfants sans même le vouloir
Mille en arrière les hommes ont bien changé les idées sont devenues plus belles
Les guerres elles ont continuer
Mille en arrière quand tournerons nous la page de ce livre d'histoires
Pour y voir le ciel bleu que les méchants ne sont plus des salauds
Mais des être humains en plein désespoir
Mille ans ont passé
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