• je prends la mer

    Ce soir je lève le grand mât
    Et la grand voile de toute sa hauteur
    Je ressens déjà le bonheur
    D'être bercée par ses vagues

    Ce soir je prends mon grand bateau trois mâts
    Et je prends la mer direction liberté
    je regarderai les mouettes venir me crier
    La météo du large

    Je regarderai les étoiles venues me saluer
    Et la lune me guider
    Ce soir c'est décidé je prends la mer
    Sans bouteille à la main
    Mais avec des secrets enfouis dans des coffres de bois

    Je sens la voile se gonfler
    Et m'entrainer déjà vers d'autre rivages
    Ou d'autre continents
    Je prends la mer avec mon cahier de grammaire
    Et mes lectures de rois

    Je repars dans mes rêves je me noie dans son bleu
    Je prends la mer pour ne plus boire la tasse
    Pour me battre contre cet élément de choix
    L'océan

    Je sais que la mer me prendra avec mes lacunes et mes défauts aussi
    Avec mes incompréhensions et mon dictionnaire sous le bras
    je prends la mer sans larme et sans chagrin
    Mon aventure à été celle d'une sirène
    Qui aimait les terriens
    Mais qui au fond aimait mieux les marins

    Je prends la mer mon bateau file grand noeuds
    je prends les embruns comme signe de Dieu
    Comme signe de vie
    Je lève mon drapeau blanc
    Ce soir je prends la mer pour un monde nouveau
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  • je vois les arbres faire la révérence
    Et les herbes s’agitent

    Comme des cheveux au vent
    Je vois l’oiseau ébouriffé
    Qui s'agrippe à la branche
    Et la feuille s'envoler
    Comme une main qui lâche

    J'entends le vent
    Murmurer sa colère
    Secouer l'océan
    Jouer de ces vagues immenses
    Et éclabousser les mouettes rieuses
    je vois le vent
    et j'entends le temps

    Je vois la vie qui passe
    _________________


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  • Le vent souffle dans les vagues

    Qui lourdement se soulèvent

    Pour éclaté en perles d'eau

    lesz voiliers filent sur la surface de l'eau

    Le vent s'en amuse les fait tourner

    les fait virer de bord

    Les mouettes de font bercées par les remous

    Qui les bercent les éclaboussent aussi

    Mais les laissent sur la surface de l'eau

    le vent se mélange aux vagues et se joue de lui

    Le fait se mettre en colère en grondant longuement

    L'océan est tranquille lorsque le vent doucemnt s'éloigne

    au matin


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  • Oubliera tu un jour que les années sont du passées
    Que les rires des enfants étaient bien des moments de joies
    Et les nuages blancs courant dans le ciel bleu

    Oubliera tu un jour que les fleurs sont fanées
    Que les saisons sont passées
    Et que les hirondelles repartiront
    Un jour à tire d'aile

    Oubliera tu que le sable est chaud
    Que l'océan est un univers de colère
    Une immense étendue
    Ou je noie mes chagrins

    oubliera tu un jour Cette main qui se lève
    Ces mots qui se crient et qui tuent
    Ces idées fausses que l'ont se force à croire
    Pour ne pas oublier

    oubliera tu un jour que la nuit est longue
    Que les âmes sensibles versent des larmes
    Lorsque la vie n'est pas un long fleuve tranquille
    Oubliera tu un jour que le noir est derrière

    Que les méchants peuvent devenir gentils
    Que la haine se sert qu'a faire des guerre
    Et que oublier un instant

    C'est vivre et revivre autrement


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  • Mille ans en arrière les hommes vivaient dehors
    Dans le froid sous la pluie
    Mille ans en arrière les enfants naissaient dans les champs
    Dans le foin et mouraient bien souvent avant l'age d'un an
    Mille en arrière il y avait déjà des guerres
    Comme la guerre du feu

    Mille ans en arrière comme les temps ou l'ont brulait les sorcières
    On condamnait les hommes en les pendant parce qu'il volait du pain

     les femmes n'avaient pas la paroles

    et le choix d'accomplir ce devoir conjugal
    A faire des enfants sans même le vouloir
    Mille en arrière les hommes ont bien changé les idées sont devenues plus belles
    Les guerres elles ont continuer
     
    Mille en arrière quand tournerons nous la page de ce livre d'histoires
    Pour y voir le ciel bleu que les méchants ne sont plus des salauds
    Mais des être humains en plein désespoir
    Mille ans ont passé


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