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Devant cet élement
je me suis assise sur le sable humide
Les vagues courraient sur la surface de l'eau
Les remous étaient des nuages d'écumes
S'éclaboussant de mille perles d'eau
L'océan grondait
Il ralait du plus profond de lui
J'écoutais son chant comme une longue complainte
les mouettes se balançaient sur la surface
Et les vagues doucement mourraient à mes pieds
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Sur le sentier des arbustres fleuries
Des plaques posées à même le sol
Une petite croix caché entre les feuilles
Boulevard des allongés
Sur ce chemin des haies toujours bien taillées
Des fleurs fraichement plantées
Et des personnes qui se receuillent
Devant ces être allongés
Dans ce cimetière ont rencontre des rosiers
Des lilas mauves et blanc
Des plaques avec des visages d'enfants
Des noms qui évoquent comme un lourd souvenir
Comme des images qu'ont ne peu oublier
Sur ce chemin au creux d'un chysanthéme un nounours
Repose à coté d'un petit
le chemin s'achéve avec une grande arcarde
Avec comme inscription cimetière de jardin
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J'entend le vent siffler
je voie les arbres faire la révérences
Et les herbes s'agité
Comme des cheveux aux vent
Je voie l'oiseaux ébouriffé
Qui s'agrippe à la branche
Et la feuille s'envolé
Comme une main qui lache
J'entend le vent
Murmurer sa colère
Secouer l'océan
Jouer de ces vagues immenses
Et éclabousser les mouettes rieuses
je voie le vent
et j'entend le temps
Je voie la vie qui passe
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les mots s'entendent
s'ecrivent un par un
Ce crie dès fois
Et puis s'oublient souvent
Les mots font mal
Ils torturent aussi
Il rejouissent quelques fois
Ils donnent l'amour qu'on attend
Ils nous donne l'espoir
Les mots se remplissent se vide de sens
mais restent écrient toujours
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