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Dans ses yeux il avait du bleu
Et des vagues immenses
Il y avait du vent
Des tornades
Et puis cette lueur d'espoir qui nous poussent à y croire
Dans ses yeux il y avait du brouillard
Des avalanches de peine et de joies
Des sourires oubliés
Et des rires étouffées
Dans son regard il y avait du vide
Dans ses yeux il y avait tout ce que l'on ne comprend pas
Tous ses moments de peurs
Ou bien de joies
Tous ses gestes qu'il ne contrôle pas
Dans son regard il y avait des rires
Des oublie de la vie
Des rêves éveillé
Dans lequel personne ne peu rentrer
Dans son regard il y avait la vie
Mais vu d'un autre monde
D'un regard bizarre
Et de peurs écrient
mais il y avait aussi le regard
Qui quelques fois s'allumait comme ont allume une bougie
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Plus rien ne tourne rond
la grande farandole c'est brisée
La ronde de la vie semble s'être arrêté
Comme un disque déraille
Comme un monde qui va mal
Le monde ne tourne plus rond
Et la misère envahie toujours plus
Et encore ceux qui le sont déjà
Le monde ne va plus
les gens ne se regardent plus ils avancent
Il avancent sans même voir l'enfant qui espère un sourire
Sans voir les autres ne plus pouvoir avancé
Ils sont devenu égoiste
Il se foutent de ces vieux qui ne peuvent traverser
Et les laissent seul sur le bord du trottoir
Ils ne regardent même plus les autres
Il ne compte que leurs pas
Ne regardent que leurs montre
Le monde ne tourne plus en rond
Il tourne comme une toupie folle
Qui ne voit plus la vie
Qui ne voit plus que soit
Qui court et puis écrase les autres
Les assassine de leurs regards
les broies sans même penser à faire du mal
Le monde est devenu celui d'un peuple fou
s
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les vieux autrefois parlaient
Sans cesse de cette guerre
Qui les avaient usée et puis détruis
Qui leurs avaient brisé la vie
Les jeunes aujourd"hui
Parle du chomage
De cette précarité qui les conduit dans la rue
A dormir sur le trottoir
A rêver dans le fond d'une bouteille
La guerre toujours la guerre
Et les gens qui se tuent
Etb ceux qui les trahissent
Et ces jeunes qui se drogue pour oublié l'ennuis
Pour ne pas voir que pour manger
il faut fouiller dans les poubelles
La guerre toujours la geurre
mais la vie est une guerre et les jeunes eux en meurent
Comme les vieux autrefois
La guerre c'est le chomage
La douleur d'être seule avec pleins de gamins
La guerre c'est vivre tous les jours un peu plus
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J'ai trouvé à travers ces pages une pomme mangée
Un peu comme un pêcher
J'y ai découvert des nuages du soleil du froid
Des gens aimants et d'autres plus méfiants
J'ai parcouru le premier paragraphe
Il y avait écrit le mot amour
Je me suis posé beaucoup questions
ce mot existe t'il vraiment
J'ai continuer à travers les pages
il y avait écrit que les guerres ne cesseront jamais
Que les hommes toujours se disputeront même pour une religion
J'ai fermé le grand livre de la vie
Et derrière il avait écris a chacun sa route à chacun son chemin
On choisit ses amis mais on ne choisit pas sa famille
J'aurais voulu avoir compris ces mots plus tôt
Avant de refermer le livre et de l'oublier dans un coin
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Les rats sont rentrés dans la ville
Assoiffé de sang et de chair humaine
Découvrant les âmes errantes
Arrachant les cerveaux qui trainaient là par terre
Laissé en sacrifice à leurs roi du diable
Les rats sont rentré dans la ville
Ont bouffées des mémoires ont crachées des gros mots
ont vomi sur leurs peur
Les rats sont rentré dans la ville
Ils ont broyés des vies
Et detruis des familles
Ils sont partout
Comme les maîtres du monde
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