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  • je marche sur le sable mes pas restent gravés dans ce sable mouillés
    Les vagues au loin semblent être des rideaux de cristal
    Qui s'entrechoque entre elles
    Mes pas se sont que marque éphémère
    Devant cet univers de sable

    Lentement les vagues comme des courbes vacillantes
    Viendrons les effacés pour repartir avec lenteur
    Rejoindre l'océan
    Les mouettes posées sur la surface de l'eau
    Se bercent lentement

    Une vagues soudain les chahutant
    Elles s'envolent poussant un rirent
    Vers le large
    les bateaux eux apparaissent
    Et disparaissent soudain
    Au grès de ses envie

    Les vagues les remontent si haut
    Que soudain il semblent plongé dans l'océan
    Et réapparaissent toujours sur le fils de l'eau

    L'océan reste univers de beauté
    Cruelle bien des fois
    Comme la vie souvent l'est aussi avec nous


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  • les oiseaux vont partirent un jour
    Ils s'envoleront à tire d'aile et nous laisserons là
    les jours eux passerons et les heures aussi
    Sans que nous repensions à ces cris à ses rires
    A tous ces petit tourments

    Les oiseaux vont partirent
    Mais perosnne ne les croient
    Et puis un jour de grand froid
    Ils s'en vont en riant
    Nous laissant ici

    Les années passerons et puis les mois aussi
    Et sans cesse nous espéreront les voir arrivé
    Au bout du chemin courant vers la maison
    Pour nous dire nous voilà
    mais nous nous resteront ici à les attendre toujours


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  • Le vent à arracher mes mots
    un à un ils se sont envolés
    Avec un trait de couleur doré
    La pluie est tombée
    Comme des gouttes de cristal
    Qui crépite sur le sol
    Comme un souffle de vent
    Qui voudrais que l'on oublie enfin

    Le vent à gommé mes phrases
    Qui s'étaient alignées
    Sur la page
    Une simple brise
    Et les lettres se sont alors mélangées
    Comme le soleil n'était pas là les mots n'ont pas séchés
    Ils se sont noyés avant de disparaitre

    le vent à souffler sur mes idées
    Et mes mots se sont tuent
    Avec le passage d'un ouragan


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  • Je me retrouve dans un univers bien froid
    Ou les sourires ne sont plus
    Ou les cris sont comme des boujour
    je ne veux plus resté
    ma feuille veux resté blanche
    Mes mots sont triste et  plein de désarrois complet
    Devant de une page si noires

    Les larmes ne semblent que coulées
    Et le lieux deviens un grand désert
    Comme un univers qui fait peur
    Ou les rires ne sont plus
    les oiseaux sont partit

    Ce soir j'ouvre la page
    Plus rien n'est comme avant
    les amis sont partit
    Les nuits ont gagnées sur le jour
    Et le monde n'est plus

    Qu'un immense désert
    Les mots s'envolent d'autres restent gravés
    Et puis se sème avec le vent
    Pour en faire des poèmes
    Le monde ne sera plus celui que j'ai connu


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