cessez de nous mettre dans des ronds des carrés

Ou des cages dorées 

Regarder nous comme des être vivants

Comme des mouchoirs qui volent qui essuie les larmes

Comme le voilier filent 

Et l'oiseaux se pose 

Nous ne sommes pas fou mais mal dans notre peau

Cessez de nous dessiné des morales guerrières

Des justices inventés

Des jugements ridicules qui nous brisent

Les fous ne sont que des être malheureux 

Des vagues déferlantes qui envahissent les vie 

Nous sommes des chameaux du  desert

Des étoiles de sable tombé par hasard et perdu dans la vie

j'entends le vent et le tourment

j'entends la mer et sa colère

Siffler si fort traversant l'univers

J'entends ces cris qui s'étouffent 

Qui se fondent dans la nuit

Qui se font beau qui se font roi

J'entends la vie crié 

Et les oiseaux s'envoler au matin 

Tu cours après la mort
Tu as perdu l'espoir
Plus rien ne te donne la joie
A part peu être encore la femme
L'ami tu t'es perdu un jour
Et puis toujours tu as croisé
Le doute la haine la revolte
Et puis peu être bien l'amour

Tu t'es tué un jour 
Pour avoir entendu ces mots
Qui sonnaient pourtant faux
Les larmes ont coulé
Tu as pensé être le plus beau
Tu n'as été que le plus faux

La vie est une page l'ami
Qui se tourne à deux mains
Avec un rien avec l'espoir
Que la page deviennent blanche

L'ami tes mots sont gravés mais il étaient bien moche
Pour avoir été juste un jour super beau