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Comme un vent qui passe la porte se ferme doucement
ne laissant plus les mots venir en les laissant dehors
Trop de mots ont été dit trop de moments vécus qui déchirent le coeur
Trop d'injustice aussi
La porte se ferme lentement au fils des jours
Comme une lourde peine
plus rien ne sera comme avant parce que soudain ont à compris
Que l'amitié ce n'était pas cela
il a fallu du temps des larmes des regrets des retour en arrière
pour enfin fermé la porte à double tour
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Je ne peu retenir mes mots qui se bousculent
Je ne sais retenir mes émotions lorsque la vie me fait mal
Je ne sais que écrire avec l'encre de mes larmes
Je ne sais pas vivre je survie j'apprends mais c'est dur
Je suis une femme construite comme un puzzle
Avec des miettes pioché au fils de ma vie
Avec mes colères et mon sale caractère
J'apprends à vivre ou à survivre
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Je suis partie marché pour semer tous mes mots
Pour sentir ce vent signe de liberté
Le jour n'étant pas levé tous reste endormi
La marée monte avec comme des cristaux qui brillent
Au fils de l'eau
Je marche pour évacuer ma colère ma rancoeur de la vie
Le jour se lève doucement avec un peu plus de chaleur
Je marche sans compté mes pas sans savoir ou j'irais
Comme pour me libéré de ces maux qui font mal
J'oublie le temps mes idées se mélangent
Je me sent fière et bien
Demain je repartirais en toute liberté
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j'aurais voulu ne jamais vivre ce jour
Au vu de ta douleur
Je voulais ravalé mes mots et rien ne dire de ce que je savais
C'était pas à moi de te dire tout cela
C'était pas à moi de trahir mon ami
La vie en a fait autrement parce que mensonges et trahison
me faisait mal au coeur
de savoir ce que tu ne doutais pas
Je voulais t'ouvrir les yeux au vu de ses mensonges
je voulais que tu cesse d'espérer ce qui n'était déjà plus
j'aurais du ravalé mes mots et ne rien dire
J'aurais du laisser le temps faire son chemin
Je me mai à genoux devant toi
Pour te dire que je ne voulais le mal que tu ressent
mais que tu sache qui il est devenu
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Marché sans jamais s'arrêté jusqu'au bout de la nuit
Semé des mots au nombres de nos pas
Ne rien pensé ne rien dire ne faire que s'évadé
partir et regardé la mer sentir le vent et se sentir libéré
marché pour oublié pour rêvé d'un autre monde
Pour se le dessiné laissé des traces de nos pas
Sur le sable humide pour lui dire je suis venu te voire
Entendre la vague arrivé et puis les effacent
parce que demain ont repartira marché toujours marché
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